mardi 7 février 2017

Uyuni

Arrivée de Potosi , direction Uyuni. Le salar au fond. Cet immense désert de sel, perché à 3658 mètres d'altitude sur les hauts-plateaux de Bolivie, est un des plus beaux endroits sur Terre.

 La ville. Peu de choses intéressantes. Le tourisme reste l'activité principale avec l'exploitation du salar. Passé récent, peu de patrimoine. Uyuni a été fondé en 1889 comme base militaire.
 Désormais  Uyuni vit aussi au rythme du Paris Dakar. Pas nécessairement au goût des locaux. Ils ne peuvent travailler normalement tout étant banalisé, les routes inaccessibles. Les touristes fuient son passage. Se loger par exemple devient impossible.
la tour de l'horloge.
Située à l'entrée de la plaza Arce  l'horloge est l'un de symboles de la ville. Les habitants l’appellent Big Ben... L'horloge fait face à la statue du Dakar récemment installée.
ville parfaitement  quadrillée.
 l'église
Un marché moderne avec de savoureux fruits. Ça change du  nord Chili ou il n'y avait que des pommes et du raisin. Importations du Pérou et d'Equateur mais qu'à cela ne tienne  c'était bon !
 Belle collection de pommes de terre. Au moins 7 variétés.
A savoir : grâce à la pomme de terre et à Parmentier qui l’introduisit en France au 18ème siècle, nous devons à la Bolivie d’avoir échappé plusieurs fois à la famine dans les siècles derniers.
La pomme de terre est cultivée en Bolivie depuis 6000 avant J.C. Il en existerait de 100 à 300 espèces.
la « papa » (et non « patata »):
Autre spécialité d'Uyuni et nous n'avons durant un mois trouvé meilleur : le poulet à la braise.  Trois quatre restaurants en proposent. Au même prix.
Mal aux dents ? On vous soigne et sans douleur.
un wagon devant la gare ferroviaire
Nous pensions prendre le train pour se rendre à Tupiza non loin de la frontière avec l'Argentine. Il nous faisait arrivée trop tôt ( 2h30) et il fallait se caler sur les jours de circulation, nous obligeant à attendre. En bus cela reste épique car la route est en travaux. Mais gérable en partant à 6h00 pour 50 bol / pers. Même si les transferts de compagnie à compagnie pour remplir les bus sont usuels. Et les bus pourris. Arrivée à 15h00 avec transit à Atocha d'une heure. 
le bus qui nous a amené à Tupiza

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